Le travail n'existe pas. Je donne mon cul à croquer au pervers qui me dirige.






Le travail n'existe pas... L'esclavagisme consentant et lâche si... 
Et si je donne mon cul à croquer au pervers qui me dirige, Dieu de la République m'offrira-t-il une ristourne sur la pauvreté, sur la dette à rembourser, sur les animaux à nourrir dans des zoos, sur les SDF à nourrir dans les zoos, sur les chiens des managers à nourrir dans les zoos. Ne suis-je que la bête lorsque je soulève le canon vers le chef, que je braque l'arme sur celui qui m'offusque, celui qui insulte mes principes, mes viols, mes veines, mes forces... Suis-je autoriser à dormir sans qu'on m'emmerde? Sans qu'on vienne là avec les tuyaux, les prises, les monstres, les organisations? ça sent la merde, ça sent la mort, ça sent l'assassinat. Qui me condamnera lorsque je ferai exploser une bombe dans un conseil des ministres? Ne m'a-t-on pas assez volé, pas assez défoncé, pas assez trahi? J'ai le choix entre l'acte terroriste et le suicide, je n'ai pas le choix entre la paix, l'honnêteté et le vagin choisi sur la ligne de départ... Je n'ai pas le choix. Vous n'avez pas le choix.

"Avant je nettoyais l'cul du patron, maint'nant j'nettoie ses chiottes!" ça s'appelle l'ascenseur social français!

Léonel Houssam


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