Égocentrique, alcoolique, provocateur, nihiliste


Premières années d'Andy Vérol

À l'âge de 29 ans, à la veille de devenir Andy Vérol pour quelques années... Andy fut un personnage de scène largement inspiré de celui que je fus entre 15 et 32-33 ans.

Égocentrique, alcoolique, provocateur, nihiliste, abuseur de substances licites et illicites, solitaire, paumé, déconneur, déprimé, colérique, désabusé... Que des qualités !

Je venais d'achever un roman qui ne sera jamais publié qui s'appelait "Un homme libre", une sorte d'entraînement pour les projets à venir... Et pourtant j'étais sûr de mourir, je crois.

Le rosé était bon, le studio où je vivais était minuscule. Je vois ce temps-là comme un rêve : une sensation de l'avoir vécu avec l'impression que ce n'était qu'un beau cauchemar.


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