Pour en finir avec le comité Adama

Bon je suis du Val d'Oise et les Traoré, j'en ai soupé. Mes potes gauchistes qui, dès la première heure ont soutenu le comité (la horde) Adama m'ont toujours laissé circonspect. Entendons-nous bien, les violences policières, je les dénonce depuis des années. Mon premier roman "Les Derniers cowboy français" est d'ailleurs fondé sur la dénonciation des violences policières y compris racistes. De la même manière, j'ai écrit chaque jour sur le mouvement de Gilets jaunes et j'ai éructé contre ces violences policières uniquement animées par les ultra libéraux au pouvoir. J'ai été le premier à dénoncer le mensonge de Castaner à la Salpetrière...

Mais je n'ai jamais pu saquer la clic Adama, des escrocs, des mafieux, des personnes qui ont vidé les poches de personnes sous tutelle curatelle. Ce comité (horde) Adama est soutenu par les bobos gauchistes du néo-progressisme est là pour discréditer toutes les luttes antiracistes, pour humilier le prolétariat blanc français qui n'a jamais, je dis bien JAMAIS, validé l'esclavage. AU CONTRAIRE ! Ces sales blancs beaufs de merde selon les dires- sous-entendus ou explicites- n'ont jamais accepté l'immigration en ce sens que c'est le fait des méga-riches qui importent depuis le XIXe siècle des personnes plus serviles, soumises car misérables pour exploser le combat des masses laborieuses.

Le comité (la horde) Adama est un conglomérat de mafieux ultra violents qui est utilisé pour faire taire ceux que l'on dit être le peuple. Aujourd'hui, enfin, la honte change de camp, le stratagème élitaire est mis à nu.

Mais je ne suis pas dupe, ils nous ressortiront encore et encore des comités Adama, des touche pas à mon prout et des brigades racailleuses pseudo anti-négrophobie sans parler des collectifs bidon anti-Islamophobes pour faire taire le soulèvement universel des classes laborieuses.

À suivre...