J'ai attaqué les racailles de mon quartier. Nuit Apache ! Journul intime 18

 


Il n'est qu'une stratégie, le camouflage. Une nouvelle fois ce soir, contre ces racailles, oui racailles, plus lascars ou "individus du quartier", je suis intervenu seul comme un grand pour les lourder de mon quartier.

J'ai appliqué tout ce que je sais des blacks blocs et des hooligans ainsi que des résistants pour les foutre dehors quelques jours.

Pour commencer, je les ai identifiés sans qu'il puisse m'identifier. Puis je les ai attaqués pour qu'ils contre-attaquent plus violemment encore. De cette contre-attaque ils n'ont reçus qu'une chose : l'écrasement. Mais là-dessus je tairai ma méthode.

Quoiqu'il en soit je rappelle que les squatteurs étaient portés, encore aujourd'hui mais plus rarement, par des idéaux. J'en écrirai un livre bientôt en hommage à Mickey Maouss qui lui était la mémoire de cette grande idée du squat. Ça n'était pas des nids de branleurs capitalistes et tant bien même sont-ils africains, ça ne leur donne aucune excuse à ne jamais faire usage de leur cerveau plutôt que leur connerie. Au profit de tous les habitants de mon quartier qui pour la grande majorité issue de l'immigration. 

Les squatteurs de l'époque de mickey étaient respectueux de leur voisinage et même mieux, ils leur donnaient des coups de main.

Ce temps est terminé, les squatteurs dont je parle sont essentialistes, sont racistes, prônent le viol des filles comme doctrine. Je le sais parce que j'ai longuement parlé avec eux. Je leur ai dit que leur énergie pourrait leur donner l'occasion d'inventer leur monde où chacun pourrait venir construire avec eux. Leur réponse à plusieurs reprises: "va te faire enculer le nazi."

OK. Vous ne semblez pas avoir compris le message jeunes et vieux gens. Vous m'essentialisez parce que je suis blanc ? Quelle différence avec les fascistes historiques ? Aucune.

Alors jeunes gens, moi les fascistes, je les combats, quelque soit vos origines, vos souffrances, vos colères et vos lamentations. Je vais vous éliminer. Ça prendra le temps que ça prendra, mais je vous éliminerai. Entendez bien sans vous tuer. Mais je ne me laisse jamais faire, n'en déplaise aux blancs qui vivent avec des blancs une poignée aux côtés de rebeus et de blacks de service. Moi je suis au cœur des quartiers 2020 de mégalopole parisienne, vous, vous vous branlez chez les blancs ultra majoritaires. N'oubliez pas, quelque soit leur couleur de peau, ici ils sont français. Ce sont donc nos concitoyens. Point barre. 

Comme tous mes potes sont des pleutres, je fais seul. Mickey et Phil Lippe seraient venus m'aider eux.

J'ai gagné ce soir. Et ce n'est qu'un des soirs parmi tant d'autres...


Commentaires

Articles les plus consultés