Blank generation, génération de merde. Journul intime 52.

 



Sauriez-vous lutter contre les discriminations liées au genre dans un monde où il n'y aurait plus le droit de se sentir de son sexe de naissance ?  Homme ou femme n'est plus. Il y a "je me sens homme, femme, les deux, aucun des deux, d'un sexe qui n'existe pas sur terre ou d'une enveloppe qui n'a pas de sexe".


À l'inverse, seriez-vous capable de revendiquer une identité "raciale" (donc de façade) si vous étiez de la race des coupables de tous les mots de l'humanité contemporaine ?


Sauriez-vous vous revendiquer d'une identité autre que totalement égotique et névrotique en étant nul en histoire, en écrivant l'Histoire en fonction de votre délire nombriliste.


Le signe annonciateur est cette égocentrisme victimaire de péteux lâches et élevés à la bouffe moi le genou.


J'avais promis d'écrire un billet sur les 40-50 ans, ceux de mon âge. Ça commence comme ça. Vous êtes la blank generation, une génération du vide, gosses d'enflures des 30 Glorieuses qui ont chié sur leurs parents pour baiser librement, pondre comme des poules, divorcer à gogo... Vous avez donc, vous de ma génération, fabriqué des gosses de merde. C'est vous qui leur avez inculqué votre blank spirit, c'est vous qui en avez fait des inventeurs d'un fascisme décoré de guirlandes de progressisme à chier. Les voilà hyper connectés, à éructer qu'un zizi ou une zezette est une imposture fascisante de la biologie blanche raciste. Vous, je vous connais, le combat féministe, c'était un truc de vioques dans les années 80. Les meufs portaient des sweat comme des islamos portent des burqas.


Vous étiez paumés avec les années Sida tandis que vos parents des 30 Glorieuses avaient baisé comme des porcs durant leur propre jeunesse.

 Les 40-50 et pas mal de trentenaires, vous n'avez jamais eu la moindre autorité. Gosses de la télé, de la paix éternelle, du banga, du tourisme de masse, du walkman et de Goldorak.


Une génération du néant qui donne naissance à une génération qui réinvente le fascisme à la sauce SA. Salo ou les 120 jours de Sodom version chattes cousues, vulves inversées en bite, bite tranchée, bite rentrée dans son propre rectum, nibards sur le front, couilles à la place des seins, nibards en guise de couilles sur les genoux.


Blank generation, génération de merde, élevant ses gosses à la hauteur de sa nullité, gavant des pisseux et pisseuses à leur vision du monde : sur-nourris, sur-protégés, aussi répugnants que des larves scindées en deux giclant d'un vomi d'entrailles laiteuses.


Ma génération et ses gosses, de la merde à jeter direct aux ordures de l'Histoire de l'humanité.


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