Le bulbe froid des gens chaleureusement vivants - Presqu'Il 7

Presqu'Il


Le bulbe froid des gens chaleureusement vivants. Vivants comme des éjaculateurs précoces qui s'excusent ou pas d'avoir cédé à leur gland. J'ai souvenir du présent que les hommes comme les femmes ou les non-genrés (nouveau genre H&M fashion podium du 1% du monde) sont de susceptibles dépressifs déchirés par leur propre boudine sur laquelle leurs yeux exorbités sont fixés. Dans la fenêtre défaite où s'écoulent leurs regards claqués par la putasserie de leurs écrans et de leurs pauvres malheurs débiles intra-intiministo-familialo-torche-cul, il y a des nuages crasseux comme des flatulences marron cachées par leurs fions. Facile quand on n'a pas eu à enterrer des tarentules mentales ultra agressives.
Je sais que vous ne comprenez rien à ce que je viens d'écrire. Cruel. Il est quand même préférable de respirer jusqu'à son dernier souffle plutôt que de s'étouffer avant que le cœur lâche.

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