De grandes langues pour dégueuler et déprimer... Les vacances. | 06 septembre 2009

Une histoire d'amour (faut passer les premières lignes pour y arriver ducon lecteur - pas de commentaire je t'emmerde)
"Nous sommes tous différents", comme diraient ces putes de l'UMP, du PS, du Modem, du PCF... T'as Fred Mitterrand et Manu Chao qui vont sucer la bite aux héritiers de Staline, des beaufs racistes qui ont préféré le mot "brigades" à celui de "mélange"... han... Je ne suis pas le fils de ta maman. Dans ma cave à vin, il y a les crétins qui se sont serrés-sueurs contre mon vêtement-solde dans le RER, l'ancêtre de l'Ump c'est le RPR, le PCF, la greffe de con sur la peau d'la couille.
A Saint-Ouen l'Aumône, devant l'Kebab, y'a un rebeu historique qui m'a lancé: "Alors l'intello, tu veux pas l'manger mon Kefta". Qu'ils aillent se faire foutre avec leur bouffe méditerranéenne... ça me fait autant chier que Sarko et ses réduc' d'impôts.
Mehdi met du temps à remonter son froc... et la Lucie sait qu'il rajoute sa bite à son boxer, celui-là même qui la faisait mouiller, dépassant du baggy, dans la boîte à con du camping... Elle tortillait la fionne envers et contre les hue-hue de papa et maman... Elle a fait comme maman au début des années 70, elle a goûté l'sexe de Mehdi qui se faisait appeler Miguel parce qu'il avait la honte d'être rebeu. Heu!
"Ce soitr tous les gens ont envie de se viander dans la viande des autres hein? Un peu d'air hein? J'te lâche un doigt sensuel dans ta politique, ta rentrée scolaire."
Entrée gratos. Lucie, le cul/le/sexe en feu rentre en cours, et sourit stupide d'vant les fausses copines. S'rappelle la pine de Mehdi, l'sable les grains bien rentrés dans sa chatte qu'elle mit 15 jours à extirper sous deux douches par jour. Maman disait: "Tu sais combien ça coûte la flotte?! Ton père va gueuler! Qu'est-ce qui t'arrive à t'laver autant d'fois?"
Elle ne répond plus rien. Savonne. Se lave. Lave c'morceau de passé...
Au Kebab, elle déconne avec ses copines: "Tu t'es fait un bo'gosse?"
La vagine à fionne, la depression. La pression. L'année scolaire commence avec le sexe déchiqueté. Mehdi lui file des mails, des sms, des trucs plein d'salive: "Pourquoi tu m'réponds pas? J'suis dégoûté si tu réponds pas, j'me tue, ou  j'viens et j'te tue..."
Mehdi caresse sa bite quand il écrit l'texto. Il l'appelait Lili, la Lucie. Il l'aimait. A part ce soir-ce où avait trop bédave, qu'il l'a un peu forcée fais ci fais ça, fissa, fais l'fion, il avait été RO-MaN-Ti-Que, barquette de fritaille offerte par la maison, tour de scout' sifflé dans l'camping, le ping, le pong, le gong de sa bite des fois juste avec la langue...
Il a vacillé, il s'en est voulu.
Lui tape un poème en texto hue:
"T MA FILLE MI-L T MA JO-Li LU-SEE"
Sur la côte, il y avait du main dans la main entre tous les deux... Des douches prises avec le maillot par pudeur, des couchés de lune en pleine nuit sur la plage immense et désertée. Les sueurs , les sens, les rires, les copains en suçant des glaces, en écoutant un track dans l'I-Pod... sans capote...
et les mains
Andy Vérol

Commentaires

Articles les plus consultés