L'amour. Les pauvres... L'amour des pauvres? | 14 juin 2007


Tu sais mon garçon, lorsque je sens l'alcool de coquin monter dans mon corps, les heures marchent sur les boulevards parisiens... Surtout le boul'Mich', les touristes, les petits blancs bourgeois avec leurs mèches et leurs futes en strech. Leur façon d'être de gauche. Tu sais, être de gauche, c'est un truc à la con. Regarde, même les Africains, les plus pauvres du monde aimeraient avoir des télés dans leurs maisons (qu'ils zont pas), un petit jardin, le chauffage l'hiver (qu'ils zont pas)... Regarde, les Indiens et les hindoux, et les chinetoques, c'était la daube de la société 15 ans plus tôt. Ils se faisaient des gosses avec leurs mains sales de paysans. Ils se gardaient leurs écritures que personne pouvait lire... Et puis t'as vu arriver des bridés et des hindoux (pour moi c'est pareil qu'un Pakistanais, terroriste et compagnie... Je dis c'que je veux... Ici, c'est comme ça qu'on traite ces gens-là)... Et là, dans le monde mondial où on envoie des sacs de riz (moi ça me fait des points sur ma carte Leclerc quand j'en achète) à des Soudanais qui sont bousillés depuis 30 ans mais qu'on a l'impression qu'ils ont commencé à avoir la dalle depuis Clooney et Canal + (j'adore cette chaine à putes... Mais depuis Internet, le film de cul a beaucoup perdu de son intérêt... Trop esthétique, pas en phase avec les films de faux viols, de meufs qui sucent et dégueulent et de filles et mères qui lèchent l'anus de deux gros pédés body-buildés - véridique, cherche tu trouveras / tape Ampland sur Google, tu vas aimer) et bien l'Humanitaire a acquis ses lettres de noblesse: Red Bollocks in the desert...
Andy Verol

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