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Affichage des articles du août, 2015

Mes années hardcore 1991 - 1997 / Manu le Malin - Chronique du quotidien pathétique

Cette dictature n'a qu'un nom: Humanité. Chronique du quotidien pathétique

Vous n'êtes plus de ce monde disparu depuis longtemps

Le bras coupé par le tir à bout portant - Chronique du quotidien pathétique

Le père qui violait ses femmes l'une après l'autre. Chronique du quotidien pathétique

Les heures à saigner des gencives - Chronique du quotidien pathétique

Alors d'accord papa. Et c'est quoi l'épilogue ?

Je voulais lui mettre une baffe dans la gueule - Chronique du quotidien pathétique

La bascule de la montagne russe pourrie - Chronique du quotidien pathétique

J'ai garé la Mustang devant le parlement local - Chronique du quotidien pathétique

Sur mon mur Facebook, il y a un moratoire sur ma mort - Chronique du quotidien pathétique

Les murs perlaient tellement l'humidité était épaisse. Dépotoir des manuscrits

Extrait non retenu pour le nouveau roman en cours d'écriture

Des jouets de plastique mués en grappes de métastases. Chronique du quotidien pathétique

Dans une baraque criblée de caméras et d'abrutis d'une connerie abyssale.Chronique du quotidien pathétique

Dégoupiller une grenade dans un gymnase. Chronique du quotidien pathétique.

Des darons bobos mi chauves mi rides mi rebelles mi contribuables - Chronique du quotidien pathétique

Il est bien votre livre ? C'est aussi bien que du Marc Levy?" - Chronique du quotidien pathétique

Le champion des cons est sans nul doute l'arrogant revanchard

Limogeage de Jean-Marie Lepen: l'alliance Oldschool/Newschool

Tu te mets ensuite en danger de mort. Chronique du quotidien pathétique

On n'avait pas Internet, on se contentait de casser les genoux du harceleur - Chronique du quotidien pathétique

Le père lui trônait en bout de table, aviné - Chronique du quotidien pathétique

Gardien de nuit d’une maison de détention désaffectée. Chronique du quotidien pathétique

« Alors tu vois ces bougnoules qui zigouillent les bons français… ». Chronique du quotidien pathétique

Le mari rossait sa femme à coups de ceinture. Chronique du quotidien pathétique

Ce fut le premier homme défunt que je vis dans ma vie. Chronique du quotidien pathétique

Tu sens qu'ils vont pas venir les flics. Chronique du quotidien pathétique