Les indignés me font chier - Vive les CRS | 20 septembre 2011

Les indignés me dégoûtent, tout comme les hippies, les altermondialistes, des pétochards en dread locks imbibés de shit et de reggae qui hurlent au crime à chaque seconde, quand les flics d’assaut font leur travail. Ceux qui changent le monde ne squattent pas des places aux noms évocateurs (de la Liberté, de la Citoyenneté, de la République) et ne roupillent pas dans des tentes Quechua avec des odeurs de pieds, de mauvaise haleine, de zozos de classe moyenne révoltés contre papa-maman, de déjà entendu et d’utopie Christianno-pseudo-anarchiste… L’Histoire ne change qu’avec ceux qu’on appelle des terroristes, ceux qui répondent à la violence par la violence, ceux qui savent que le choix d’un nouveau monde, c’est avant tout d’accepter les dictateurs de son camp qui agiront contre ceux contre lesquels on se battait.

Je répète. Le monde des hommes est fait des ruines des régimes qui se sont engrossés jusqu’à devenir vulnérables… Les Indignés n’ont aucun rapport avec le livre de Hessel. Il se refuse d’ailleurs à être récupéré par ces imposteurs. Moi je n’aime ni Hessel (diplomate, certes déporté, d’une République de pourris) ni les indignés… J’aime Al Qaïda, en tant qu’Historien, parce c’est ça le « changer le monde »… Les espagnols, les italiens, les français qui se pavanent dans le merdique du « tout le monde doit s’aimer et nous devons changer le monde pour plus d’égalité », c’est la même mouise que les 68 qui entraient dans la vie avec angoisse, pour finir aux commandes d’un troupeau de chèvres dans le Larzac ou d'un troupeau de merdiques au PS. 

L’Histoire s’écrit avec le sang et  la lutte d’un camp contre un autre et finit toujours dans la baston, la mort ou/et la zonzon…
Ces indignés sont l’imposture shootée d’un occident inculte qui ne connaît ni les leçons de l’Histoire, ni les genoux brouillés de ceux qui ont dû avancer « révérence » devant les maîtres du pouvoir… Ne me parlez pas de courage avec ces paumés-là, ils ne sont pas les indignés, ils sont les INUTILES, les éternels zombies de la politique.


Andy Vérol

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