De la banlieue rouge à la banlieue opaque





De la banlieue rouge à la banlieue opaque où les chiens de faïence financent les sourates consuméristes et crétines de retraités égoïstes, vindicatifs. Il n'existe plus que les danses lugubres des particules fines, des fenêtres ouvertes sur les faces courbaturées par le faire-la-gueule. Métissage mon cul, les silhouettes sont des spectres, des Dark Vador aux vide-ordures, des ventres gras aux visages avinés. Tout ça est aussi con que de promettre la mort à la grande faucheuse...

Léonel Houssam

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