Les contrôleurs de gestion aussi empathiques qu’un Waffen-SS



Manager, autrement dit en français courant : « Petit chefaillon de service usant de techniques dites de « management » pour appliquer la doxa des dirigeants et/ou actionnaires et balançant des injonctions permanentes sur le petit personnel dans l’optique de mettre dans le vert les « indicateurs » chiffrés sur lesquels il est rivé toute la journée… Cette couleur verte lui assure deux choses :
- Un : La baisse de la pression et les félicitations de sa hiérarchie composée de contrôleurs de gestion aussi empathiques qu’un Waffen-SS tenant une mitrailleuse dans un mirador de Dachau, de ses super-managers, sorte de généraux ayant troqué l’uniforme de l’Etat-Major des armées criminelles du XXème siècle avec un costard-cravate ou un jean-tee-shirt-baskets (style leader à la cool façon Steve Jobs) obsédés par les dividendes, les putes et la construction d’une forteresse fiscale, policière dans l’objectif de soumettre et de repousser les assauts de 99% des êtres humains exclus de leur caste.
- Deux : La petite prime de fils de pute, le découvert autorisé au-delà de toute rationalité et l’intégration à la culture « d’entreprise ».
Voilà pour la version française de manager. Pigé ?

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