Ouverture progressive du site des Editions Burn-Out



Le site de cette maison d'édition un peu particulière est en phase de développement. Blog, publications, catalogue, achats en ligne, contact presse. Tout cela se met en place gentiment. Voici l'adresse: 


Edito de cette maison: Même si bien sûr nous voulons écouler un maximum de nos ouvrages (première parution d'ici décembre 2016), nous souhaitons privilégier la vente de nos livres sous le manteau, de dissidents à emmerdeurs, d'emmerdeurs à passionnés des mots... Nos parutions seront disponibles dans toutes les librairies traditionnelles et en ligne sur commande pour une durée d'un an seulement. Toute réédition sera conditionnée à la demande de lecteurs... 

Et ligne éditoriale: Si l’on considère notre monde occidental pour ce qu’il est, ce qu’il est devenu, ce qu’il est depuis si longtemps, c’est-à-dire comme une abomination destructrice composée essentiellement d’imbéciles heureux et d’idiots utiles à la machine de destruction massive qu’est cette « civilisation », nous pouvons insulter, blasphémer ses fondements, ses «espoirs », ses « utopies », son arrogance et sa prétention à « rendre le monde meilleur ». Les mots, et la littérature en particulier, peuvent se comporter comme un venin parfois, un virus surtout capable d’inoculer (patiemment, au fil des générations d’écrivains tenus à l’écart du corps puissant et ravageur de l’Occident) une destruction lente du monstre. La littérature n’est pas simplement un divertissement, un loisir, un outil d’épanchement des égoïsmes implorants ou un exutoire, elle est aussi une arme à l’instar d’une pandémie qui couve, attendant son heure, d’une colonie de bactéries prête à se démultiplier de façon folle… La littérature est surtout cela pour nous. Elle n’est pas incarnée par un auteur, un individu isolé gonflé par son ego, elle est une duplication à l’infini de l’esprit de résistance et de conscience.

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