Le décès de sa maman à midi



Ce qui me taraudait, ce n'était pas sa tristesse ni même le risque qu'il puisse venger la mort de sa mère sur moi. Non. Dès qu'il apprit la mauvaise nouvelle, je suis allé vers lui. La veille au soir, il m'avait une fois de plus violé. J'avais mal à l'anus et je me sentais déprimé, brumeux. On lui apprit le décès de sa maman à midi. Il revint dans la cellule à 17 heures. Immédiatement, je le pris dans mes bras et lui formulai mes sincères condoléances. Pourtant il ne répondit rien, il ne me remercia pas. Il se tut et me rejeta. Ça me taraudait. Ce gros lard n'avait donc rien d'autre à me répondre qu'un coup de poignet pour que je disparaisse de son champ de vision...

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