Je quitte Facebook et ses dénonciateurs anonymes




A tous: je jette l'éponge et je quitte Facebook. Ce réseau joue clairement le jeu des dénonciateurs et du vérouillage de la parole.
Depuis 2008, 32 comptes facebook aux noms de Andy Vérol puis de Léonel Houssam ont été désactivés sur la base de dénonciations anonymes. Je n'ai pourtant jamais pratiqué la moindre activité illégale, je n'ai jamais écrit un seul texte interdit par la loi. La preuve en est, la plupart de mes textes sont publiés sur un blog viable jamais inquiété et sous forme de livres qui figurent dans les rayons des librairies et des bibliothèques. Facebook fait le choix de la désactivation automatique des comptes d'auteurs, musiciens, philosophes et tous autres artistes libres de parole (que la constitution protège sur le papier). L'usage d'un pseudo est également protégé par les lois européennes tandis que Facebook ose demander des scanners de papiers d'identité à ses usagers: ça c'est illégal et pourtant le réseau américain ne se dispense pas de violer les droits des citoyens européens.
J'en ai assez de créer de nouveaux comptes après des désactivations non justifiées par Facebook, qui joue par là la carte des détracteurs des écrivains libres. J'ai de nombreux lecteurs, j'ai aussi des "haters" et de la pire espèce. Ces gens qui cherchent à me nuire depuis des années (et dont je connais une bonne partie des noms) n'hésitent pas à me porter préjudice, à tenter de me museler en utilisant les outils de séquestration de la parole libre du réseau Facebook...
Je quitte ce lieu, je ne suis plus le bienvenu (L'ai-je jamais été? Non bien sûr).
Il existe un groupe secret et un page Facebook qui n'ont pas encore été détruits par Facebook et son armée d'usagers censeurs... J'y informerai ceux que ça intéressera.
La loi de la République protège déjà beaucoup moins bien ceux qui ne possèdent rien tandis qu'elle sécurise ceux qui possèdent le plus... Mais désormais, la loi de la République ne sert plus à rien d'autre qu'à justifier les sièges électifs de politiciens flasques et à la botte des multinationales... La loi de la République est désormais carpette devant la Charte Facebook de dénonciation de la parole libre. Je n'ai plus le droit d'être Léonel Houssam sur ce réseau? Et bien je continuerai à l'être ailleurs.
A ceux qui pensent qu'ils ont encore quelque chose à faire sur Facebook, je leur donne un petit conseil: contentez-vous de parler de chatons, de vos marmots et de vos lectures de tête de gondole et vous serez tranquilles.
N'oubliez cependant pas une chose: même si vous n'avez rien à vous reprocher, lorsque les maîtres des réseaux collectent vos données, vous construisent des enclos virtuels pour la parole, pour les loisirs, pour les causes et la consommation, il faut juste que vous vous rappeliez ce que je vais vous dire maintenant:
Etes-vous prêts à accepter un type travaillant pour Facefuck, Gogole ou truiteur près de vous, dans vos chiottes, lorsque vous êtes en train d'expulser un colombin puant?
Prisona Jacta Est.
L.H.
PS: je vous invite à partager ce billet d'humeur si vous pensez qu'il mérite d'être lu par le plus grand nombre d'usagers.

Là où me retrouver:

Page Facebook (jusqu'à ce qu'elle soit elle aussi dénoncée): 


Compte Linkedin: 


Compte Google+: Léonel Houssam

Compte Twitter: @Leonel_houssam

Comptes cachés Facebook (jusqu'à suppression suite à dénonciations également): tapez Eliot Edouardson dans la barre de recherche. 



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