La diaspora des derniers jours
Il y a 20 ans, quand j'écrivais
l'extinction de l'humanité à partir des années 2020 (sur la base de centaines
d'études scientifiques qui prévoyaient cette issue), on me chiait sur la gueule
et on me qualifiait de nihiliste et de déclinologue. Désormais, tous les
médias, des leaders politiques, L'ONU, des grands patrons et surtout des
millions de citoyens hurlent à l'urgence sous peine de disparition... Quand
j'ai commencé à écrire "Mon Usine, la suite" et "la diaspora des
derniers jours" dès 2005 qui dépeignent un monde pré-extinction, on me disait
que c'était de la science-fiction alors que je répétais que c'était de
l'anticipation... Quand j'écris aujourd'hui que l'extinction est irréversible,
on me balance qu'on peut encore lutter contre... Nous en reparlerons en 2030,
si une partie d'entre nous vit encore...
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