Pouvoir : après le terrorisme, la Covid19

 


La thérapie par le choc pour l'accession au pouvoir par le gouvernement et ses colistiers est parfaitement au point.

Par colistiers j'entends bien sûr la droite et l'extrême droite qui jouent la même partie que les dirigeants. Celle du capitalisme céleste auquel ils croient jusqu'à la mort et l'éternité.

Le terrorisme avait perdu de sa superbe. Les gens s'étaient habitués à ces attentats d'autant qu'ils étaient de plus en plus nuls (attaques au couteau en gueulant "ouala-akkbarre", ça commençait à devenir juste baston de rue à Argelès Plage face à la pizzeria "Chez Luigi").

Mais grâce à Dieu des élites bigarrées et sans cesse en guerre larvée mais mondiales, la Chine a laissé échapper un coronavirus étrangement plus Superman que ses prédécesseurs. Remercions une dictature "populaire" d'avoir fait le sale boulot pour ses amis investisseurs occidentaux.

Le virus, un peu plus virulent et dangereux qu'une grippe saisonnière mais bien moins qu'une grippe espagnole a submergé le monde d'un coup. L'argent qui n'était jusque-là pas magique l'est soudainement devenu. On pouvait assigner des  centaines de millions de personnes de la classe moyenne à résidence tout en ne les privant ni de nourriture, ni d'eau courante, ni de chauffage ou encore de films pourris Netflix et autres sketches YouTube.

Et le miracle se produisit. Tous les récalcitrants, ou presque, du moins ceux dont les comptes bancaires étaient dotés, ont pu se convertir au digital à l'instant précis où l'on commençait à injecter de l'intelligence artificielle performante dans tous les Datacenters, processeurs et satellites du monde.

Miracle donc. Le capitalisme aux abois, le capitalisme qui se cognait à un plafond de verre découvrit son Saint-Graal. Point besoin de laisser les consommateurs libres pour qu'ils consomment. Ils suffisaient de leur annoncer une peste bubonique d'un nouveau genre pour les cloîtrer dans leurs vies de merde. Après tout ces "citoyens" sur le fil du confort étaient devenus hygiénistes depuis fort longtemps. Privés de croyance en Dieu, ils n'avaient plus que leur sacro-sainte croyance en la vie et surtout leur espérance de vie.

Ni vu ni connu, terrassant cette foule de besogneux forts bien pourvus en biens de consommation, la pandémie tant annoncée (prévue) par la CIA, la Nasa, l'OMS et tout autre "machins" (comme l'aurait dit de Gaulle) internationaux, eut lieu. Les populations étaient mûres, du moins une majorité. Restait juste à convertir les récalcitrants, les sceptiques...

Ce fut donc fait avec une réussite telle qu'elle surprit même ses inventeurs par sa rapidité. Les médiaSS mainstream, les pour comme les contre saturèrent les ondes et les canaux de ce seul sujet. Un peu comme si 50% des êtres humains mouraient de cette terrible pandémie. Car le mot faisait peur. Les gens étaient tellement désespérés et impuissants devant ce choc qu'ils en vinrent à applaudir des personnes dont ils se foutaient, à accepter de ne plus se réunir pour prier, pour manifester ou même pour faire la fête.

Ç'eut pour effet d'amplifier la misère sociale de laquelle découla une augmentation exponentielle des violences... Ces violences justifièrent alors, en plus de la pandémie, un discours sécuritaire. Forcément, les gens faisaient des efforts alors que tant d'autres ne faisaient que pourrir la vie de ces mêmes gens...

La thérapie par le choc nécessitait que l'on relâche ponctuellement la pression pour mieux le reprocher à tous ceux qui s'en félicitaient et en profitaient. Ces méchants petits "libres" menaçaient la vie des plus fragiles, voyez-vous ?

Mais ce scénario qui n'était pas gagné d'avance s'avéra d'une efficacité confondante. Ce coronavirus superman échappé d'un laboratoire chinois trouva rapidement son antidote. En l'espace de 18 mois, l'argent soudain magique put financer un ou plusieurs élixirs de guérison. En bénéficier était la promesse d'un retour à la liberté. Pour cela, il fallait tout de même se doter d'un nouveau passeport intérieur. C'était magique. L'économie décolla de plus belle, les gens respiraient, ils avaient le droit à une perm', une libération provisoire parce qu'ils avaient été bien sages comme on leur avait demandé...

Pourtant le coronavirus superman échappé des labos chinois (100% financés par des occidentaux), muta encore et encore... Ça marchait, que voulez-vous... Chaque mutation était l'occasion de rappeler à chacun que s'il ne se conformait pas au conseil de la kommandantur scientifique, il était un criminel en puissance, sûr que s'il n'appliquait pas les barrières par le geste, il assassinerait ses proches, ses voisins, de gentils vieillards qui ne méritaient pas de telles souffrances.

On injecta donc une puis deux puis douze puis cent doses de l'elixir tout en maintenant chacun dans les restrictions nécessaires à la survie de l'humanité... Du moins selon les dires de tous les dirigeants éclairés de ce monde... Les politiques...

Les dirigeants réels et économiques pour leur part restaient étonnamment muets. Et pour cause, l'argent coulait à flot dans leurs veines...

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