Les petits requins anonymisés des réseaux - Journul Intime 110

 


J'ai tellement lu de commentaires de débiles sur l'un de mes derniers statuts que je me dis que je me dois de déployer toute ma putréfaction mentale pour leur répondre.
J'aime beaucoup les petits requins anonymisés des réseaux que je vois comme moi avec un vieux calbute ou une culotte bouloche de règles sur les organes génitaux, dans une vie quotidienne de merde rhabillée de paillettes par leurs délires mentaux de grandeur digitale.
Il me faut donc me donner la peine... Oui j'affirme que 95% des "artistes" ne sont que des imposteurs. Poètes du dimanche, sosies de Johnny ou de Dick Rivers, Rihanna ou encore New Kids on the block des marseillais à Miami...
Le statut d'intermittent autorise toutes les supercheries, le talent réduit à l'état de PQ souillé de chiasse ou de chiottes de bar dégoulinantes de dégueulis... Et je n'ai pas cité Levy, Musso ou je ne sais quelle autre merde...
Le théâtre subventionné sans couilles, le cinéma d'entre soi payé par le contribuable, les sempiternelles expos de peintres ultra connus aux frais du contribuable... Etc.
Artiste = no intermittence, no fric de l'état ennemi.
Quant au succès, il ne peut et ne doit être un objectif pour celui qui crée. Entendons-nous bien: s'il rencontre le succès, bien lui en fasse. Mais je n'en suis même pas sûr. Ça pourrit toujours sa créativité. Enfin, quelques-uns gèrent un temps. Jamais tout le temps.
Le succès, c'est le fric et les fans débiles... Et si on remplaçait le succès par : tu dois manger tes doigts millimètre par millimètre et choper chacune de tes crottes pour les lécher comme des glaces... Et bien je l'affirme, si tel était le deal, 95% des "artistes" contemporains le feraient.

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