Punk wasn't dead

 



Le plus difficile avec le punk, le métal, et toutes les formes hardcore du rock, c'est d'en écrire l'histoire avec les témoignages de personnes qui pensent que c'est LE truc de toute l'histoire de la rébellion depuis que l'Humanité existe. Sans parler de cette invraisemblable virilisme bastonneur de certains qui trahit totalement le discours universaliste et antisystème qu'ils affirment revendiquer. On est toujours sur un fil avec ce genre de "héros" souvent devenus chauves, adipeux ou encore agressifs et frustrés. Ça n'était pourtant pas ça. Ça n'était surtout pas ça. Certes il y avait quelques bastons bien corsées, des mecs par terre croupissant dans des galettes de vomis, des filles foutues qui arboraient des collants resilles déchirés achetés au Prisunic, mais avant tout c'était de l'art, de la force, une bête féroce qui bouffait la vie, qui ne misait rien sur les lendemains et encore moins sur l'avenir...

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