Grandeur et misères d'un écrivain libre, indépendant et hors-microcosme




Comme il y a prescription, j'en parle volontiers.
Parfois, cela fait plaisir de se faire plaisir. Dans le n°125 du magazine Le Matricule des Anges, le boss des éditions Treizème Note (aujourd’hui en sommeil hélas), avait eu à me citer. J’étais un féru de cette maison, ayant acheté une bonne partie de leur catalogue. Alors quelle ne fut ma surprise lorsque j’appris qu’Eric Vieljeux cherchait à travailler avec moi ! Je l’ai donc contacté. Nous avons beaucoup échangé, et hélas, le projet (un roman noir) avorta du fait de l’inévitable faillite financière de cet éditeur mythique dès sa naissance… Bref, voici le passage de l’interview qui me mit en joie quelques minutes :
« Du côté français, on recherche des textes.
J’aime beaucoup un auteur comme Léonel Houssam… Jean-Louis Costes aussi, avec qui on a un projet d’écriture en ce moment, différent de ce qu’il a publié par le passé, un récit de voyage mêlant voyage réel à l’étranger et voyage intérieur. Et dans notre rythme de publications de 12/14 livres par an, on va maintenir une ligne anglosaxonne, qui reste le coeur de la maison, là où nos passions sont ancrées, mais aussi une ligne française et une ligne latino-américaine. On a publié Efraim Medina Reyes, un romancier colombien cette année, l’an prochain ce sera un auteur mexicain. »

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