Du tofu fumé goût chaussettes de poivrots des années 50
On avait le gros
rouge qui tache, désormais on a le vegan qui pue. Ne tue pas les bébêtes avec
des gros coups de marteau dans la gueule et le réchauffement climatique
cessera, les glaciers repousseront, les toilettes seront sèches, on chiera des
fleurs, du miel d'abeille, du tofu fumé goût chaussettes de poivrots des années
50. Ce sera parfait pendant que dans la grande périphérie, les nettoyeurs de
gogues, les chômeurs de longue durée, les underpays plieront sous la chaleur
d'une canicule dégueulasse. Défendre la diversité parmi les riches de tous
pays, se gaver de ses propres tomates cerises qui ont poussées sur le mur
végétal installé sur la terrasse, vue sur la cité joyeuse jouisseuse, la cité
des pistes cyclables et des plages grotesques posées là part des semi-remorques
et des pelleteuses. Dans la banlieue, les putes ne font plus le trottoir, elles
uber-baisent dans des hôtels bon marché tout automatisés sauf la queue et les éjacs faciales.
Mon Usine 2.
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